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Recycleur Inspiration

Avantages/inconvénients, comparaisons et avenir

Avantages et inconvénients du recycleur

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Recycleurs Inspiration XPD/EVO
Avantages du recycleur :

Un des premiers avantages qui découle du principe même de fonctionnement d'un recycleur est :
- l'autonomie.
Cette autonomie est maximale pour un CCR à gestion électronique de type Inspiration. Elle est d'environ 6 heures avec une bouteille de 3 litres à 200 bars d'oxygène. Et ceci quelle que soit la profondeur d'évolution.
Avec un SCR (Dolphin) l'autonomie est moindre et est fonction du mélange nitrox utilisé et de la profondeur. Avec une bouteille de 4 litres de nitrox, l'autonomie varie d'environ trois quart d'heure (Nx32) à 2 heures (Nx60).
De ce premier avantage ont en déduira un autre, qui est la :
- consommation de gaz réduite.
La consommation est surtout intéressante dans le cadre des plongées Trimix où le coût de l'hélium est élevé. Ceci est particulièrement vrai pour un CCR.
Les recycleurs sont des appareils qui ne font pas (CCR) ou peu (SCR) de bulles. Ce qui veut dire une évolution en :
- silence.
Le monde du silence devient enfin une réalité et permet une approche douce des animaux sous-marins. Ce critère peut-être particulièrement intéressant pour les photographes et les biologistes.
Les recycleurs utilisent, dans tous les cas, des mélanges (plus ou moins) optimisées et avec une forte teneur en Oxygène. La conséquence en est une :
- décompression optimisée.
Ceci est particulièrement vrai pour les CCR (PpO2 constante et quantité d'azote minimale) et moins pour les SCR (le mélange respiré a toujours un taux d'oxygène inférieur au mélange nitrox embarqué). En terme de décompression un SCR est moins intéressant qu'un simple bloc nitrox. Les SCR multigaz apportent cependant une bonne solution (gaz fond et gaz déco).
Le mélange expiré par le plongeur est débarrassé du CO2 dans la cartouche de chaux (réaction chimique qui produit de l'eau et de la chaleur) et revient (après enrichissement en O2) :
- chaud et humide.
Ces 2 dernières caractéristiques contribuent à limiter le refroidissement du plongeur et évitent d'avoir la gorge sèche. Particulièrement intéressant dans le cas des plongées longues.

Certains plongeurs recycleurs décrivent également l'absence de poumon ballast comme un avantage. Je serais plus réservé à ce sujet. Il est vrai que cela procure une grande stabilité à équi-profondeur. Mais cela devient gênant quand vous désirez jouer aux montagnes russes. En bref, match nul.

Un autre avantage d'un CCR est l'utilisation d'oxygène pur. Il n'est donc pas besoin de préparer, au préalable, un nitrox comme sur un SCR.

Inconvénients du recycleur :

Les avantages ne viennent généralement pas sans les inconvénients.

Un des premiers freins à l'achat d'un recycleur est le :
- prix élevé.
En plus du coût du recycleur lui-même, les consommables sont en plus grand nombre et dispendieux (chaux, O2 ou nitrox). Ceci entraîne un :
- coût à la plongée plus élevé qu'en circuit ouvert.
Le critère coût sur un recycleur devient un avantage dans le cadre des plongées Trimix car l'hélium est un gaz cher et la consommation en est réduite.
Avec un recycleur il y a un avant (préparation) et un après (nettoyage) plongée beaucoup plus long et minutieux qu'avec un circuit ouvert. En clair, il y a un :
- entretien complexe et long.
Le mode de fonctionnement des CCR électroniques entraîne des risques liés à la :
- fiabilité.
Electronique et eau ne font pas bon ménage et il est souvent nécessaire (par précaution) d'emmener avec soit un bail-out (réserve d'air de secours) en cas de problème. Un recycleur de type CCR Inspiration pèse environ 30Kg tous pleins faits. Avec le bail-out la balance s'enfonce encore un peu plus et l'ensemble accuse un :
- poids élevé.
Les SCR sont généralement moins lourds (20Kg) que les CCR et ont des poids similaires à un équipement traditionnel (15 litres acier). En terme de poids, le recycleur reprend l'avantage dans le cas des configurations lourdes pour les plongées profondes au trimix. Le dernier recycleur Evolution d'APD est cependant moins lourd (25Kg) que son grand frère, pour des performances équivalentes.

Avec cette liste, il ne faut également pas oublier qu'avant d'utiliser un recycleur il faut se former et que cela à un coût, mais ceci est également vrai avec un équipement traditionnel. Autre précision, la maîtrise d'un recycleur, et particulièrement celle d'un CCR, est longue et demande, au total, autant de temps que le classique couple bouteille/détendeur. En terme de flottabilité et de maniement vous descendez d'un coup au cran d'un jeune longeur niveau 2. Un CCR demande également une pratique plus régulière de l'activité qu'avec un circuit ouvert. Il est également plus long pour s'y remettre au bout d'une longue période d'arrêt. En opposition les SCR sont d'un maniement plus facile que les CCR et donc globalement moins contraignants.

Choix Inspiration/Dolphin

Dräger Dolphin
Le recycleur Dräger Dolphin

Je profite, en cette année 2025, de la refonte du site web pour mettre à jour le chapitre. On pourrait, en effet, se poser la question de l'utilité d'un chapitre comparant un CCR à un SCR. Est-ce bien utile, car la conclusion semble évidente. Évidente en termes de performance ou encore de tarif. Mais justement, si on s'intéresse à la population des palmipèdes humanoïdes, toutes les études nous montre que les plongeurs loisirs récréationnels (plongée à la mode US, sans déco à faible profondeur) forment le gros des troupes, que ce soit en France (près des deux tiers des plongeurs ne sont que niveau 1 et 25% des niveaux 2) ou à l'étranger. Les statistiques nous apprennent d'ailleurs qu'environ 80% des plongées réalisées en France comme dans le monde ne dépassent pas les 20 mètres de profondeur. La question serait donc, pourquoi s'encombrer avec une machine complexe et chère au détriment d'un simple recycleur semi-fermée. De plus, je constate que la question m'est encore souvent posée. Rien d'étonnant à cela, car les plongeurs loisirs en circuit ouvert voient bien leurs collègues en recycleur passer énormément du temps à préparer leur machine. Ils voient également l'encombrement de ces engins avec les bailouts qui pendouillent de chaque côté. Tout de suite, leur vient à l'esprit, le poids de tout cet équipement qui fait peur. Bref, la question est bien d'actualité. En fait, elle l'a toujours été, car je me la suis également posée à mes débuts et d'autres avant comme après moi se la poseront encore.

Toute ces belles paroles nous rappellent que le choix d'un recycleur n'est pas trivial surtout pour un premier achat. Techniquement, la logique voudrait que l'on choisisse un CCR plus performant qu'un SCR. Cependant, selon les besoins, les critères varient beaucoup et il existe encore bien d'autres aspects, concrets comme subjectifs, pouvant entrer en ligne de compte.

Avec la performance du CCR, on retrouve souvent une plus grande complexité et en corollaire une fiabilité moindre. Le prix d'achat et la maintenance ne sont également pas en faveur de l'Inspiration, bien qu'il soit aujourd'hui un des eCCR le moins cher du marché. D'autres critères comme la compacité, la légèreté, la facilité de préparation, de réparation pour des usages essentiellement loisir ou pour des voyages pourrait plutôt faire pencher la balance du côté d'un SCR.

Nous avons donc, deux machines vraiment différentes et dont les objectifs le sont tout autant. Dit autrement, nous avons deux machines pour deux zones d’évolution et pour deux usages différents. Le Dolphin (où n’importe quel SCR équivalent) est une excellente machine école pour débuter ou pour des gens qui désirent se limiter à la zone des 40 mètres et de préférence pour des plongées sans décompression et sans prise de tête avec une logistique de niveau équivalent à la plongée bouteille. Si l'on ajoute à cela le besoin de pouvoir voyager léger, alors le choix du SCR sera certainement le meilleur.

Pour une plongée plus profonde, plus longue et donc plus technique, l’Inspiration, comme tous CCR, sera la machine de prédilection. Elle ira là où le semi-fermé s’arrête. Mais les avantages viennent aussi avec les inconvénients.

Le Dolphin, évoluera naturellement dans les zones tropicales où l'on pratique majoritairement la plongée à faible profondeur. Pour une utilisation dans notre beau pays, un appareil de type SCR demanderait à évoluer avec une gestion de plusieurs mélanges (mélange fond Tx, mélange de déco) ainsi qu’avec d’autres équipements plus adaptés. Cependant plutôt que d’essayer de faire évoluer un matériel qui n’a pas réellement été prévu pour cela, autant prendre directement une machine conçue nativement pour ce type de plongée.

Au final, un SCR comme le Dolphin n'apportera pas beaucoup plus d'avantages qu'un bloc nitrox de 15 litres, et cela dans la zone 0-40m. C'est d'ailleurs certainement une des raisons pour laquelle cette machine n'a jamais trouvé son public dans nos régions. Un autre point clé de cet échec est dû au fait que le nitrox, carburant des SCR, ne s’est jamais réellement développé en France. Cette absence a certainement été un frein non négligeable pour ce type de machine.

Le bilan des paragraphes précédents montre qu’il ne nous reste plus qu'une seule machine potentiellement intéressante pour une pratique hexagonale de 0 à 60 mètres voire plus. Mais faudrait-il encore s'assurer que l'Inspiration répond bien à toutes nos exigences.

Techniquement, cet appareil permet de plonger dans les limites autorisées par le Code du sport, et même bien au-delà. Sans aucune modification, il peut vous emmener, au trimix ou à l'héliox, à plus de 100 mètres. Il est donc, ce que j'appellerais, un appareil évolutif.

Comme vu précédemment, l'autre critère important est celui de la fiabilité. Sur ce point, on sait que les principales machines que l'on trouve en France (Inspiration, JJ-CCR, X-CCR, rEvo, etc.), de type CCR, ont globalement un bon niveau de fiabilité. Les ventes des machines APD se comptent en milliers, même s'il est difficile d'avoir des chiffres précis. Le constructeur anglais reste, de très loin, le leader. Il est inutile de nier qu'il ne peut tomber en panne au même titre que n'importe quelle mécanique ou gadget électronique. Ceci est d'autant plus vrai dans un milieu humide. Étant moi-même photographe à mes heures perdues, je suis très bien placé pour savoir qu'il est difficile de ne pas voir son appareil noyé ou tomber en panne un jour ou l'autre. Beaucoup d'accidents survenus avec l'Inspiration ou n'importe quel CCR, ont cependant eu pour cause une origine humaine (appareil non contrôlé au départ, mauvaise manipulation en cours de plongée, aucun contrôle sous l'eau, etc.). La fiabilité n'est donc, à priori, pas la cause principale des problèmes recensés. Mon expérience propre et celle des plongeurs Inspiration que je côtoie m'ont d'ailleurs confirmés que la fiabilité était bonne voire même excellente. Il y a cependant un minimum de règles à respecter (comme sur la route) afin de garantir sa sécurité. Passez outre et vous augmenterez considérablement vos chances de ne jamais remonter. Comme lu dans une revue, les recycleurs CCR sont faits pour des plongeurs responsables.

Au final et après toutes ces considérations métaphysiques, une fois la formation sur Inspiration faite, vous êtes généralement conquis. Il ne reste plus qu'à débourser une somme rondelette pour son acquisition. Ce qui peut encore demander un nouveau temps de réflexion (surtout, s'il faut, en plus, convaincre son/sa conjoint(e) d'alléger le compte commun) !!!

Au début des années 2000, quand j'ai écrit ces lignes (revues en 2025), le choix des recycleurs était relativement restreint, mais aujourd'hui, le paysage a sérieusement changé et plusieurs challengers sont arrivés sur le marché avec une maturité affirmée. Ils s'appellent JJ-CCR, X-CCR, rEvo, Triton, FX-CCR pour les plus connus, mais encore d'autres dont j'ignore l'existence tellement l'offre s'étoffe de jour en jour. Avec cette arrivée massive de machines, le choix, pour le néophyte, ne va certainement pas se simplifier.

Comparaison de quelques recycleurs du marché (2016)

Chapitre en cours de rédaction.

Avenir des recycleurs

Compacité, adaptabilité, modularité
Le recycleur devient (presque) courant

Les recycleurs existent déjà depuis longtemps, mais n'étaient réellement utilisés que par les militaires et depuis la dernière guerre mondiale. En France, l'usage civil des recycleurs n'a vu le jour qu'au début des années 90 dans le cadre d'explorations souterraines (RI2000). La pratique loisir est quant à elle très jeune, puisqu'elle n'a démarré de façon significative qu'à la fin des années 90 (dräger Atlantis, Buddy Inspiration).

Malgré cette jeunesse apparente, l'avenir des recycleurs est un thème couramment abordé à la fin des articles parus dans les revues spécialisées avec souvent comme conclusion, qu'ils seront l'avenir des circuits ouverts. En effet, les recycleurs auront certainement une place à jouer dans le monde de la plongée, mais je ne pense pas qu'ils remplaceront prochainement les scaphandres conventionnels (bloc + détendeur) en circuit ouvert.

Pour s'en convaincre, il suffit de lister quelques éléments qui jouent en leur défaveur (non-exhaustifs) :


Compacité, adaptabilité, modularité
Le scaphandre en circuit ouvert
a encore de beaux jours devant lui.

Des constats précédents, on peut en déduire que les recycleurs ne pourront faire leur apparition que dans les gros clubs (intéressés par les recycleurs) qui ont des moyens importants ou chez les particuliers passionnés et prêt à investir une somme conséquente. Même si le code du sport sur les mélanges donne l'accès des SCR aux niveaux 1, il y a fort à parier que les clubs réserveront la formation, sur ce type de matériel, uniquement aux plongeurs confirmés (avec qualification Nx Conf.) N2 voire N3.

Étant moi-même adhérent d'un gros club de bord de mer (83), je constate que les différents bureaux qui se sont succédé à la tête du club sont plutôt frileux à l'idée de voir débarquer des machines réputés complexes, voire dangereuses. Rien d'étonnant également de voir que les directeurs de plongée ne sont pas prêts à prendre cette nouvelle responsabilité qui est de faire plonger des membres avec des machines dont ils ne connaissent pas grand-chose. Et même en connaissance de cause, les responsabilités de ces derniers sont particulièrement lourdes dans notre pays et, du coup, ils ne souhaitent pas alourdir une tâche déjà bien pesante. Les DP sont un peu comme les recycleurs, ils existent, mais ne courent pas les rues, surtout dans les clubs associatifs. On a grand besoin des directeurs de plongée (qui se font de plus en plus rares), mais beaucoup moins des recycleurs.

Je pense également que les recycleurs garderont longtemps une image d'appareil complexe et technique. Si ce dernier point ne rebute pas les plongeurs (bien au contraire), le premier va à l'inverse de ce qu'est prête à accepter la communauté des palmipèdes. La technique, oui, mais de là à mettre les doigts dans le cambouis et à passer son temps à nettoyer et contrôler un appareil, sûrement pas. Pour beaucoup, la préparation doit être rapide et la mise à l'eau immédiate. Une fois la plongée terminée, le nettoyage ainsi que l'entretien sont classés dans la catégorie des corvées. Les démontages et autres réglages de précision ne se font généralement qu'en cas de défaillance du système. Bref, un ensemble de procédures qui ne sont pas franchement compatibles avec l'utilisation d'un recycleur. Temps et patience ne sont pas l'apanage du plongeur du 21ème siècle.

On peut également remarquer l'admiration des plongeurs pour leurs collègues photographes. Ces derniers sont à la limite de passer pour des maniaques et un peu pour des fous au regard des infinies précautions qu'ils prennent pour entretenir et protéger leur matériel. Et pourtant, en termes d'entretien et de préparation, les appareils photo et les recycleurs présentent beaucoup de similitudes. Durant les meilleures périodes (chaudes) pour plonger, les bateaux surpeuplés ne facilitent d'ailleurs pas les opérations de contrôle préalable à la plongée.

Beaucoup de plongeurs aiment partir léger en vacances en emmenant un minimum d'équipement. Tout, ou presque, est loué sur place. D'ailleurs, pour un quidam qui ne plonge qu'une semaine par an, pourquoi investir dans un matériel coûteux et qui risquerait d’encombrer inutilement la maison ou l'appartement. Là aussi, l'aspect simplicité et rapidité priment. Cependant, un SCR pourrait facilement être loué prêt à servir avec un contrôle de pré-plongée réduit. Le centre n'aurait qu'à récupérer le matériel après la plongée pour en effectuer le contrôle et le nettoyage. Ceci ne pourrait évidemment être possible que dans des structures haut de gamme et avec des tarifs de location qui le seront tout autant.

Compacité, adaptabilité, modularité
Le bloc et le recycleur, deux
appareils qui se cotoient
de plus en plus souvent

Grâce à leur relative simplicité, les SCR pourraient trouver une petite place dans les parcs de location des centres de plongée et pour des formations à coût raisonnable. Le prêt de moyenne (5 à 6 plongées) et longue durée pourrait également être adapté à une clientèle diplômée. La location à l'unité resterait cependant plus délicate et certainement plus chère.

Je n'ose même pas parler des CCR, car ils sont plus complexes, plus chers et demandent plus de contrôle et d'entretien. Ceci n'aura donc pour effet, qu'une intégration et une manipulation encore plus délicate pour une pratique en club ou en location. Ces derniers resteront principalement détenus par des particuliers ou par les structures pros pour la formation. La location d'un CCR, à un client de passage, est difficilement envisageable, car il faudrait pouvoir s'assurer des compétences et surtout du sérieux de l'emprunteur. Avec un CCR, le diplôme n'est que le ticket d'entrée, mais il ne prouve en rien les compétences qui sont acquises par une pratique régulière et récente.

Les paragraphes précédents nous ont montré, de façon non exhaustive, que les obstacles à la démocratisation des recycleurs sont nombreux. Les recycleurs et les formations vont évoluer avec l'intérêt des plongeurs, mais ils resteront probablement réservés à une frange de passionnés qui ont envie de découvrir une autre façon de plonger ou à des adeptes de plongées profondes, de photographie ou tout simplement de technique. Ils deviendront, plus simplement, une nouvelle discipline comme le sont la photographie ou la plongée Trimix et le nombre d'appareils en circulation sera, par conséquence, du même ordre de grandeur que ce que l'on peut trouver dans ces dernières activités. La multitude des voies ouvertes au plongeur de base est justement, ce qui fait la richesse et l'intérêt, sans cesse renouvelé, de notre activité.

Pour clôturer ce chapitre sur l'avenir des recycleurs, j'ai la conviction que la simplicité et le prix relativement abordable de la plongée bouteille lui assurera encore de belles années. Les recycleurs qu'ils soient SCR ou CCR, feront doucement leur apparition sur les bateaux, mais resteront limités en nombre. Le recycleur restera certainement un appareil de passionné et/ou une nouvelle niche dans le marché de niche qu'est déjà la plongée.